À propos de cette édition

Éditeur
Arcade
Genre
Science-fiction
Longueur
Nouvelle
Paru dans
Arcade 13
Pagination
22-24
Lieu
Montréal
Année de parution
1987
Support
Papier

Résumé/Sommaire

En Oxymol, les fâmousses vivent dans le plus grand détachement à l’égard de la société qui les entoure, ne se souciant que d’eux-mêmes et de leurs performances sexuelles, méprisant la plèbe.

Commentaires

Je résume pour résumer car le texte de France Boisvert ne se résume pas. Il présente tout simplement une classe sociale d’Oxymol, les fâmousses. « La Trace de Médée » n’est pas tout à fait un extrait des Samourailles bien que ce texte corresponde à peu près aux pages 51 et 52 du roman. Il semble plutôt qu’il représente l’embryon à partir duquel s’est développée l’écriture du roman.

« La Trace de Médée » n’a aucune valeur littéraire en soi si ce n’est de servir de vitrine au roman comme la page quatre de couverture. Si vous avez de la difficulté à supporter ce style pendant deux pages, songez que le roman en fait plus de 200 et qu’il est de la même farine… Vous êtes avertis. Et si vous avez des doutes, prière de lire mon commentaire sur Les Samourailles. [CJ]

  • Source : L'ASFFQ 1987, Le Passeur, p. 47.