À propos de cette édition

Éditeur
American Folk-Lore Society
Genre
Fantasy
Longueur
Nouvelle
Paru dans
The Journal of American Folk-Lore 208/209
Pagination
100-104
Lieu
Bloomington (Indiana)
Année de parution
1940

Résumé/Sommaire

Jaloux du plus jeune qui retient toute l’attention de leurs parents, deux frères partent travailler chez le roi. Plus tard, Tit-Jean va les rejoindre et est commis aux écuries, ce qui attise le ressentiment de ses frères qui complotent contre lui. Ils racontent au roi que Tit-Jean est capable d’aller soustraire un baril de liqueur qui ne vide jamais au château où résident trois princesses. Aidé d’un cheval qui parle, il réussit l’exploit non sans maladresses de sa part. Les deux frères récidivent et Tit-Jean doit aller enlever l’oiseau charmeur des trois princesses. Sur les conseils de son cheval, il se rend au château et, lorsque les princesses sont endormies, il s’empare de l’oiseau, mais l’enferme dans la mauvaise cage, ce qui réveille la deuxième princesse. Dépités, les deux frères laissent entendre au roi que Tit-Jean se vante de pouvoir capturer la sirène du lac. Son cheval lui conseille de demander au roi trois robes magnifiques. Il doit s’y prendre à trois reprises, utilisant à chaque fois une robe différente. À la fin, il la capture et elle se change en une ravissante princesse. 

Son cheval le supplie de lui faire une incision. Tit-Jean obtempère et le cheval se transforme en prince qui apprend à son bienfaiteur que lui et la sirène sont des fiancés métamorphosés par la fée Furibonde. Il se rend à l’écurie, s’empare de deux chevaux afin qu’ils puissent s’enfuir tous les trois. Ils foncent alors vers le château du prince métamorphosé. La fée Furibonde y agonise dans d’atroces douleurs en se lacérant à l’endroit où Tit-Jean avait incisé son cheval. Tit-Jean retourne alors au château des trois princesses et, les deux plus vieilles étant mortes de douleur, épouse la troisième. Le roi, se croyant floué par son ancien jardinier, lui déclare la guerre dans laquelle meurent ses deux frères, et la perd, laissant enfin Tit-Jean filer le parfait bonheur. [BB]

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Commentaires

Conte provenant de la collection Adélard Lambert.
Voir The Journal of American Folk-Lore.